Cette semaine, Endémix offre encore une fois un beau reportage sur l'architecture coloniale. Julie rencontre Nathalie Marchand, une architecte qui a rénové sa propre maison, mais aussi Pierre Alain Pantz qui nous fait découvrir quelques maisons coloniales du Faubourg. Pour en savoir un peu plus sur ces propriétaires amoureux d'histoire, visionnez ce reportage en cliquant sur le lien ci-dessous:
http://pluzz.francetv.fr/videos/endemix.html
Et bien-sûr, il est toujours possible de visiter la maison Célières, fleuron de l'architecture coloniale chaque premier samedi du mois.
vendredi 22 novembre 2013
mercredi 13 novembre 2013
Bienvenue à l'hôpital du Marais - MANIFESTATION
Rendez-vous ce vendredi 15 novembre à 18h00 pour découvrir la 6e manifestation du cycle « Si le bagne m’était conté » organisé par la province Sud.
Au programme:
18h : Découverte du panneau historique
18 h 05 : Accueil en poésie par Alain Mardel
18 h 20 : Concert du quatuor à cordes du conservatoire de musique
C'est ouvert à tous et c'est gratuit. Profitez-en!
mercredi 6 novembre 2013
Donner ou prêter au musée du bagne: c'est possible
Nous l'avons déjà annoncé: la sélection des objets et documents qui seront présentés dans la collection permanente du musée est en train de se faire. Ce moment important, souvent inconnu du public, fait l'objet d'un appel aux dons pour le futur musée.
Il est important pour notre histoire de connaître l'ensemble des objets présents en Nouvelle-Calédonie. Nous recherchons des objets de la vie quotidienne liés au bagne en Nouvelle-Calédonie qui ont pu être utilisés par des forçats, par des surveillants, par les Kanak qui travaillaient au bagne, par le personnel médical ou religieux.
Je désire contribuer au musée du bagne en donnant un objet
Faites-vous connaître en nous téléphonant ou en nous envoyant une photo de l'objet à cette adresse atupnc@lagoon.nc
Une attestation de don vous sera remise si l'objet correspond aux thématiques abordées dans le musée. L'objet, s'il n'est pas retenu pour l'exposition permanente, pourra aussi être présenté lors des expositions temporaires.
Sauf avis contraire, votre don sera accompagné de la mention Coll. VOTRE NOM à chaque fois qu'il sera présenté dans une exposition ou dans une publication (catalogue, articles de journaux...)
Et si je désire rester propriétaire de mon objet?
Rassurez-vous, les familles, si elles le souhaitent, peuvent rester propriétaires de leurs objets ou des documents dont elles disposent. Un prêt peut ainsi être envisagé pour une période donnée. Pour les documents papiers, c'est encore plus simple: un scan en HD permettra à l'ensemble des calédoniens de profiter de l'apport du document qui, lui, restera dans vos archives.
En espérant que vous répondrez largement à cet appel. Nous le répétons, c'est maintenant que la collection du musée se constitue. Une fois les vitrines créées sur mesure pour chaque objet, il sera difficile de rajouter votre objet dans l'exposition permanente. Ne tardez donc pas à nous contacter si vous désirez contribuer à l'histoire de la Nouvelle-Calédonie.
Rien n'est plus parlant qu'une vidéo alors regardez le reportage réalisé par NC1ère suivi par l'interview d'Yves Mermoud:
(Merci à Marcel Claude de nous avoir fait découvrir ce montage)
Pour visionner uniquement le reportage de Karine Arroyo, c'est ici:
http://nouvellecaledonie.la1ere.fr/2013/11/08/un-musee-sur-l-histoire-du-bagne-en-province-sud-83669.html
Pour visionner uniquement le reportage de Karine Arroyo, c'est ici:
http://nouvellecaledonie.la1ere.fr/2013/11/08/un-musee-sur-l-histoire-du-bagne-en-province-sud-83669.html
mardi 5 novembre 2013
Le 20e anniversaire de la villa-musée s’est déroulé pendant la Fête du Bœuf
Elles sont nombreuses les personnes à
être entrées dans la villa-musée de Païta dimanche dernier à
l’occasion de la Fête du Bœuf. Au compteur, 900 personnes sont
venus découvrir l’histoire de Païta ou tout simplement retrouver
le charme de celle qui vient de fêter son 20e
anniversaire au sein de l’association.
Bienvenue en 1900
Malgré le monde prévisible lors de la
Fête du Bœuf, il régnait une bonne ambiance au sein de la maison.
Afin de respecter l’esprit de gratuité de la Fête du Bœuf,
exceptionnellement, les visiteurs ont été accueillis gratuitement,
une bonne surprise ! L’entrée se faisait par petits groupes
afin de permettre une meilleure circulation dans la maison et un
confort de visite non négligeable.
Les bénévoles ont encore répondu
présents et se sont répandus en anecdotes. Dans la chambre des
parents, les visiteurs étaient accueillis par un chaleureux
« Bienvenue en 1900 ». Le début de l’immersion
commençait alors dans cette chambre qui regorge d’histoire. Le lit
du japonais, splendide, paraît immuable. L’histoire de son
propriétaire, tellement tragique, mériterait d’être adaptée sur
écran. Un article vous racontera bientôt pourquoi… En attendant,
demandez à Gisèle.
Les nouveaux de l’association se sont
essayés à l’ultime épreuve : faire ronfler le ronfleur.
Déjà pas facile seul, l’expérience se corse face au public,
heureusement toujours indulgent. The show must go on…
Tonton Marcel était au rendez-vous
Annoncé sur les réseaux sociaux,
Marcel était au rendez-vous. Assis sur sa terrasse avec son fidèle
Macy, on pouvait entrer chez lui et découvrir une maisonnette très
réaliste : pot d’achards, soyou et chouchoutes dans la
cuisine, trophée de chasse et tv dans le salon. Ne manquaient que sa "bande".
Rencontres autour de la mine
L’exposition « Les aventures de
Païta » était présentée sur la terrasse avant de la villa
ainsi que la maquette du va-et-vient déjà visibles lors du Mois du
Patrimoine. Celles et ceux qui l’avaient manqué ont ainsi pu se
rattraper.
Nous étions très contents de
retrouver à la villa-musée les familles qui nous avaient accueillis
et racontés leurs souvenirs de la mine. A leur tour, elles ont pu
voir le résultat de nos recherches et commenter l’exposition aux
autres membres de leurs familles. Une fois lancés, on ne les arrête
plus et c’est tant mieux ! Grâce à cette transmission,
l’histoire continue à vivre dans le souvenir de ceux qui n’ont
pourtant pas vécu cette période.
Toujours sur la thématique de la mine,
l’exposition montée par les archives de Nouvelle-Calédonie était
visible dans la « salle des pétroglyphes ».
Des changements à venir
Cette nouvelle disposition dans la
salle des pétroglyphes a surpris plus d’un habitué qui
connaissait déjà la salle « par cœur ». Ce changement
a eu le mérite de renouveler l’intérêt de la villa-musée. Dans
les années à venir, la villa-musée sera progressivement réaménagée
pour traiter de nouveaux sujets liés à l’histoire de Païta ce
qui donnera un nouveau souffle à la maison.
Si vous n’avez pas
encore visité le musée, c’est l’occasion de le faire avant les
changements.
Ainsi se clôturent les grandes
manifestations de l’année à la villa-musée. Il est toujours
possible de la visiter le 3e samedi de chaque mois de 14h
à 16h.
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